El santuario de Torreciudad : retorno de los Mortífagos ? (2/2)

[Petite précision pour LA personne qui perd son temps à me laisser des coms' (mais c'est cool, ça occupee le mien (de temps) et en plus je trouve ça chouette en fait) : à son grande frustration et éternel désespoir, je me dois de préciser que j'avais effectivement ma (la seule, l'unique, pas un anneau mais presque, quoi !) jupe, pour une mystérieuse raison, qui trainait pas trop loin et que je suis empressée d'enfiler. Avec un vieux tee-shirt et une paire de machins vendus sous l'appellation "chaussures de moyenne montagne" aux pieds, je devais avoir un fameux look...]

Une fois accoutré de manière davantage seyante, vous êtes autorisés à pénétrer dans cette my(s)t(h)ique enceinte, pour votre plus grand bonheur.

Naturellement, vous vous dirigez vers ce qui semble être le centre de l'ensemble, l'imposante construction qui peut être vue au milieu du billet précédent. Prenant votre courage à deux mains, vous passez une première série de porte, récupérant au passage un prospectus (qui reviendra plus loin).


 Vous arrivez enfin dans la salle principale, aux dimensions assez astronomiques...
(La photo est un peu pourrie, mais je me suis fort hâtée, car j'avais la vague impression qu'on allait me chercher des noises si je continuais à faire du noise, et des photos avec mon appareil.)



Pour un monument supposé historique, ça a une tête plutôt moderne. Ereinté par de telles découvertes ou simplement impressionné l'environnement, vous observez, assis, les va-et-vient, les flux presque incessants de groupes entrant et sortant.

De temps à autre, vous remarquez, qu'avant de s'esquiver, certains s'inclinent, face à l'autel, avant de se détourner, une salutation révérencieuse, légèrement plus prononcée que celles entre Harry et Draco précédant leur mythique duel...


Un certain nombre de dizaine de minutes plus tard, les accords et autres crescendos commencent à vous lasser, et vous décider de priver la compagnie de votre présence.
Légèrement désœuvré, vous errez sans but dans la cour de l'édifice, lorsque qu'une scène attire votre attention.



 Non, vous n'hallucinez pas, deux sbires d'un quelconque mage noir en pleine dissertation au milieu de la cour... et en y regardant de plus près, vous êtes encerclés, sur les remparts, en bas des escaliers, devant les portes, partout.

Complètement effrayé, vous vous éclipsez, d'une façon que vous espérez discrète, jusqu'à la sécurité relative de votre véhicule. Comme vous commencez à vous y ennuyer, dans l'attente de vos acolytes, vous entreprenez la lecture du prospectus, pour vous rendre compte que donner trois mille euros par mois à vie à l'association qui gère les lieux est d'une facilité déconcertante, et qu'en outre, une grande partie sera déduite de vos impôts...

L'est pas belle la vie ?

1 commentaire:

  1. [Bah écoute, lire tes articles occupe le mien aussi, de temps, alors si je dois le perdre à quelque chose, autant que ça soit pour te rendre la pareille =P.
    Et puis, tu sais, le look... Quand tu sais que cette fille : http://farm6.static.flickr.com/5080/5838790612_e272de96c0_b.jpg est l'une des plus respectées au monde pour le sien, tu te dis que tout est relatif...

    Bref oui, j'ai bien la haine, vas-y, sois heureuse.]

    Et sinon : XD.
    Ton post m'a fait peur, je vais aller enterrer mon argent dans le jardin, et je ne rentrerai plus jamais de la même manière dans des églises modernes et moches.
    Merci de m'avoir alertée.

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